Month: juillet 2011

BEDLAM

L’Imperial War Museum se trouve dans un immeuble de Londres où était situé anciennement le Bethlem Royal Hospital, un centre de soins psychiatriques. Les gens le connaissaient sous le nom de « Bedlam » (Chahut), un terme qui en est venu à illustrer le chaos et la folie.

LE FACTEUR PEUR

Si vous aimez Shakespeare, vous savez que ses héros ont toujours de graves travers. Ils se prêtent bien aux bonnes histoires et permettent d’en
seigner d’importantes leçons. Il en va de même d’Abraham, un de nos héros bibliques. Son travers ? La peur.

DES BÂTONS ET DES PIERRES

Le psalmiste en avait assez du « mépris des hautains » (Ps 123.4). Peut-être est-ce aussi votre cas. Les gens de votre quartier, de votre bureau ou de votre salle de cours méprisent peut-être votre foi et votre détermination à suivre Jésus. Des bâtons et des pierres peuvent nous casser le dos, mais les paroles peuvent nous blesser plus profondément. Dans son commentaire au sujet de ce Psaume, Derek Kidner compare le mépris à de « l’acier froid ».

CONVENIR À
LA PERFECTION

Trop long. Trop court. Trop grand. Trop petit. Trop étroit. Trop lâche. Ces mots décrivent la plupart des 
vêtements que j’essaie. Il me semble impossible de trouver celui qui me convient à la perfection.

VIDE-MOI !

Quelle conception pourrie ! » ai-je rogné en vidant la déchiqueteuse. Je suivais un bon conseil en déchi
quetant des documents personnels, mais je ne parvenais pas à vider le contenant sans répandre des bandelettes de papier sur toute la moquette ! Un jour que je vidais les corbeilles et les poubelles, je me suis demandé si 
j’allais même me donner la peine de vider la déchiqueteuse puisqu’elle n’était qu’à demi pleine. Par contre,
 en mettant un petit sac de plastique sur le dessus et en la renversant, j’ai constaté à ma grande joie que pas un seul bout de papier n’était tombé par terre.

LES HORS 
LIMITE

Au golf, les hors limite indiquent que la balle est sortie du jeu. Si la balle d’un joueur sort du jeu, on impose au joueur un coup de pénalité.

VOIR L’ÊTRE INTÉRIEUR

Le 1er février 1960, quatre étu
diants d’un collège fréquenté exclusivement par des Noirs sont 
allés s’asseoir dans un casse-croûte « réservé aux Blancs » à Greensboro, en Caroline du Nord. Un d’entre eux, Franklin McCain, a remarqué qu’une Blanche âgée assise près d’eux les regardait. Il était certain qu’elle 
nourrissait de l’animosité envers eux parce qu’ils protestaient contre la ségrégation. Quelques minutes plus tard, elle est allée les voir, leur a mis 
les mains sur les épaules et leur a dit : « Les garçons, je suis tellement fière de vous. »

PAUL, 
LE VEILLARD

La célébration de mon 60e anni
versaire a véritablement changé 
ma perspective de la vie. Je pensais avant que les gens dans la soixantaine étaient « vieux ». Puis je me suis mis
à compter le nombre d’années pro
ductives qu’il me restait peut-être à vivre, que j’ai estimé à 10. Je me suis abandonné à cette pensée sans issue jusqu’à ce que je me rappelle un collègue très productif de 85 ans. Je suis donc allé le trouver pour lui demander à quoi ressemblait la vie après 60 ans. Il m’a parlé de certaines des merveilleuses occasions de ministère que le Seigneur lui avait confiées au cours des 25
 dernières années.

VIEUX JEU

En cette première partie du nouveau siècle, nous voyons de plus en plus de gens mettre en doute la valeur de normes éprouvées. Une adolescente pop star qui disait croire en Jésus l’a clairement exprimé récemment.

LES ALÉAS 
DU MÉTIER

Je travaille avec les mots. Que 
j’écrive ou que j’édite, je me sers 
des mots pour véhiculer des idées afin que les lecteurs comprennent ce qu’ils lisent. Je parviens généralement à voir ce qui cloche dans l’écriture d’un autre (bien que pas toujours dans la mienne) et à trouver comment le corriger.